Nom : Van Heidegger
Prenom : Alexandra, dite Alex
Age : 17 ans
Année : 7ème
Ascendance : Sang pure, sans aversion particulière pour les sangs de bourbe.
Origine: Allemande [RFA]
Maison : Gryffondor
Matiere preferée : Divination (et toc !) / sortilèges
Matiere detestée : Botanique
Affinitées en : rhétorique, maîtrise des sortilèges.
Lacunes en : potion, puisqu’elle a horreur de tripoter des matières peu ragoûtantes
Prof preferé : Fitzwilliam D’Arcy.
Caracteristiques speciales [prefet/...] : Préfet
Description physique : Androgyne au regard changeant. Des cheveux bruns coiffés en bataille, quelques mèches blondes, un maquillage discret, une démarche étrange, un peu masculine. Elle est très mince, ses muscles apparaissant par moments. Une certaine négligence dans l’habillement, souvent reprochée par les autorités professorales.
Description morale : C’est quelqu’un qui parle peu, très discrète, réfléchie. Méthodique, soucieuse de son travail. Altruiste. Très étrange au premier abord, elle ne semble pas très sérieuse. Il faudra attendre de la découvrir un peu. Elle peut paraître dans son monde, isolée, le regard absorbé. Mais elle n’en est pas encore au stade délirant.
Pouvoir spécial : Affinités animales.
Patronus (pour les plus doués) : Une licorne.
Baguette : 28,5 cm, bois de chêne, crin de licorne, rigide.
Histoire : Née il y a 17 ans à Bonn, capitale de la RFA, dans l’excellente famille Van Heidegger, qui a notamment quelques places à la Chancellerie magique Allemande, qui réunit à la fois des sorciers de RFA et de RDA. Elle a toujours eu un talent inné, mais n’a jamais souhaité l’utiliser à son potentiel maximum, préférant rester chez elle à potasser quelques livres de philosophie, s’intéressant à l’étude des moldus et écrivant quelques articles pour Die Welt, l’équivalent du Monde français. Passons rapidement son enfance, déroulée sans heurts dans le manoir familial de la forêt noire, situé non loin de l’Académie de Magie, où sa mère était professeur. Elle donnait des cours du soir à un certain Fitzwilliam D’Arcy, qui se rendait régulièrement chez eux, pour des soirées organisées. Oui, les profs allemands n’ont même pas besoin de rester à l’Académie toute l’année. C’est auprès de cet homme mystérieux qu’elle apprit de nombreuses choses intéressantes sur les hommes, sorciers ou moldus, sur l’Humanité et ses valeurs. Elle pouvait rester des heures à l’écouter parler et à débattre avec lui, une fois que les bases furent acquises. Par ailleurs, elle désirait entrer dans un cours de philosophie ou de psychologie, afin de mieux appréhender l’Humanité. Malheureusement, ce ne fut pas possible pour elle, qui était déjà destinée à devenir une sorcière, comme son père l’avait été avant elle…
Partant de ce principe, elle n’eut plus énormément de temps à se consacrer à la philosophie. Elle entra dans la même académie de magie que son ami-futur-professeur Fitzwilliam, en première année. Elle y suivit les cours assidûment, prit toutes les options possibles et s’en sortit honorablement. Elle s’entraîna au quidditch, se trouva fort aise sur son balais de riche, malgré sa silhouette au maintien étrange. Elle était la fierté de ses parents, de ses cousins, de ses tantes, de ses oncles et de ses grands parents, car, c’est pas beau la famille ?
Et pourtant, à l’orée de sa septième année, elle claqua la porte du manoir familial en leur promettant de revenir, une fois n’est pas coutume, puisqu’elle suivrait son bellâtre de professeur jusqu’en Angleterre. Pourquoi rester en Allemagne, alors qu’elle avait le sentiment qu’elle n’avait aucun rôle à jouer dans le Conflit de Berlin. L’Angleterre, cette inconnue, l’éloignait du conflit communiste et lui permettait de commencer sa vie comme elle le désirait. En suivant son mentor, l’homme qui lui avait presque tout appris et qui l’avait sortie de son cliché de riche bourgeoise coincée. Elle avait envie de respirer la vie et de l’aimer. Rebelle, rebelle, la Alexandra.
Elle envoya son dossier à Poudlard, où Fitzwilliam enseignerait. On l’accepta, grâce aux bons résultats obtenus (je ne dis pas non plus extraordinaires, je tiens à le souligner).
De plus, ce dernier lui avait avoué quelques détails sur sa vie. Elle n’avait pas le droit de divulguer quoi que ce soit. Elle préférait être à ses côtés, puisqu’il en avait besoin et qu’il lui avait demandé. Elle n’avait pas compris en profondeur sa requête, mais elle avait envie d’aller face à son destin, au lieu de rester cloîtrée dans ce manoir étouffant.
[Alors je suis désolée pour cette bio merdique, je la reprendrais ce week end, mais là il est trop tard ^^]
Avatar : Kate Moennig.